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7 réponses
Pour 4 personnes, engrais : fumier de mouton 1/2 journée pour passer le motoculteur à l'automne et au printemps, 3x20 minutes par semaines pour enlever la mauvaise herbe (si on fait moins, on travaille plus longtemps car les racines ne viennent pas et la mauvaise herbe repousse. en fin de saison : semis de graines de moutarde on est fin mars, 3 touffes de mauvaise herbe sur tout le potager.
On cuisine avec des légumes coupés 30 minutes avant le repas, ceux qui donnent trop soit on les cuisinent, soit on les blanchis et "au dur" !
600m2 ça doit nourrir 2-3 familles.
Nous on à 120m2 et on achète pas de légumes de mai à octobre, on à des patates, des poireaux, des oignons, ... et on en mange encore !
voilà ... lancez vous et n'écoutez pas ceux qui se sont dégouté tout seuls ...
On cuisine avec des légumes coupés 30 minutes avant le repas, ceux qui donnent trop soit on les cuisinent, soit on les blanchis et "au dur" !
600m2 ça doit nourrir 2-3 familles.
Nous on à 120m2 et on achète pas de légumes de mai à octobre, on à des patates, des poireaux, des oignons, ... et on en mange encore !
voilà ... lancez vous et n'écoutez pas ceux qui se sont dégouté tout seuls ...
Il faut défoncer le terrain. C'est-à-dire le retourner d'un fer de bêche et retirer les mauvaises herbes (chiendent, queues de rat). Donner un peu d'engrais (Bio ?)
Le ratisser, poser les planches pour les allées.
Acheter les graines ou les plans (Bio ?) Semer ou planter.
Arroser (...). Désherber à la main, 2 ou 3 fois dans la saison.
Traiter (Bio ?).
Composter tous les déchets.
Arracher ce qui devient caduque après récolte.
L'année d'après on recommence.
Êtes-vous sûre d'encaisser tous ces travaux physiques ? Moi j'ai arrêté au bout de 3 ans, quand il a fallu refaire les rames de haricots... et que je me suis rendu compte du degré de pollution de mon coin (aérien + route + traitements par mon voisin cultivateur à grande échelle...).
Allez au marché et discutez avec les producteurs, vous perdrez moins votre temps.
Le ratisser, poser les planches pour les allées.
Acheter les graines ou les plans (Bio ?) Semer ou planter.
Arroser (...). Désherber à la main, 2 ou 3 fois dans la saison.
Traiter (Bio ?).
Composter tous les déchets.
Arracher ce qui devient caduque après récolte.
L'année d'après on recommence.
Êtes-vous sûre d'encaisser tous ces travaux physiques ? Moi j'ai arrêté au bout de 3 ans, quand il a fallu refaire les rames de haricots... et que je me suis rendu compte du degré de pollution de mon coin (aérien + route + traitements par mon voisin cultivateur à grande échelle...).
Allez au marché et discutez avec les producteurs, vous perdrez moins votre temps.
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J'ai un potager et j'ai fait des zones différentes ; mon potager est situé nord -ouest et sud . donc selon les produits voulus , j'ai placé légumes ( tomates , haricots verts , citrr ouilles , concombres) dans la zone la plus ensoleillée , et le reste ( fraises , groseilles , framboises ) dans le reste du terrain . j'ai 86 mètres carrés de disponible , mais la moitié serait largement suffisante ( même plus ! )
j'ai de la chance, mon coin est très proche des bois, l'un d'eux arrive à la limite du fond de mon terrain, sur la droite, nous avons des vaches, de l'autre côté, nous avons séparé avec l'accord de notre voisin, avec des arbustes fleuris et des framboisiers et des groseillers. bien sûr que je cultive bio, je sais que c'est fatiguant, qu'il faut y être TOUS LES JOURS. Les gros travaux comme bêcher, fumer, pailler, c'est mon gendre qui les fait, (ses parents sont d'anciens cultivateurs) et moi, je m'occupe du reste même de la scarification de la pelouse, mon mari tond et arrose à l'eau de pluie récupérée, quand il est décidé, c'est tout ce qu'il sait faire, et encore, il faut que je le booste : il a toujours vécu en appartement avant que je ne le connaisse. Malgré tout ça, j'y tiens, même si c'est difficile, j'ai la récompense au bout : des fruits et des légumes qui ont du goût et qu'on déguste avec plaisir tout simplement avec la famille et les amis. De plus, je fais des réserves pour l'hiver : conserves maison, confitures, sirops, congélations, aucun regret ! Pour les pommes de terre, les oignons et les carottes, nous allons glaner après la récolte par les agriculteurs qui pour certains ont gardé l'habitude conseillée dans la bible de laisser la part du pauvre. Les noix, les noisettes(on en pique aux écureuils, mais pas trop, pour qu'ils aient tout de même de nourriture, ils sont si beaux à voir !), nous les ramassons dans les bois et forets, et le tout est placé dans des clayettes selon chaque sorte d'aliments. quand c'est la saison des champignons, nous y allons avec des personnes qui s'y connaissent, on les de suite et le reste, on les fait sécher. J'aime la nature que Dieu nous a donné et je crois qu'elle me le rend bien. MJW
