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10 réponses
En réponse à Denis Andrieux, et parce que je en souhaie pas que ce dialogue soit privé, l'utilisation d'animaux pour la nourriture ou l'habillement n'est pas de la domestication, c'est de l'élevage pas les hommes (la domestication implique de vivre dans el même habitacle, il me semble et d'imposer des règles qui doivent être suivies, outre le fait de ne pas avoir la même morphologie (il ne s'agit pas de couleur de peau, ni de poids, mais d'espèce), je parle d'animaux).
La domestication n'est pas synonime de domination, 4 chats vivent chez moi, 2 "sauvages" recueillis et 2 bien domestiqués ! les 4 sont heureux ils ont un peu tendance à me dominer, ils dépandent peut être de moi pour la nourriture, on peut considérer que c'est une façon de les aider
j'aime la nature, le partage, que ce soit avec des humains ou des chats ou chiens etc;;; les plantes et les arbres aussi sont domestiqués , rien d'incompatible pour moi, on peut ainsi sauver des races ou des espèces;la nature c la cohabitation (sauvage et domestique ou apprivoisé )
voilà ma vision ,
Je dirais tout dépend de l'être humain et de l'animal domestique. Pour le chien par exemple le lien à l'homme est hiérarchique, il a besoin d'un maître c'est-à-dire un chef de meute, contrairement au chat pour qui le maître est un copain et c'est uniquement par amitié pour vous qu'il respectera certains interdits. Tous 2 ont en tout cas grand besoin d'affection.
Concernant les humains, je vois pour ma part 3 principales "catégories" d'humains concernés de près ou de loin par votre question, je doute d'y répondre, mais c'est une occasion pour en parler :
Il y a l'humain uniquement préoccupé par l'argent et/ou le pouvoir et/ou son plaisir personnel qui génère des dégâts parfois irrémédiables sur la nature et une misère, souffrance animale extrême et qui néanmoins ose parfois prétendre aimer les animaux parce que sachant s'extasier devant une portée de chatons ! et/ou aimer la nature, tel l'abject gros propriétaire terrien qui a des bois et organise des chasses très privées, qui au mépris des lois génère une surpopulation de sangliers pour que tous puissent se faire un carton, pour que son business, ses restaurants attirent toujours plus d'assoiffés de sang (argentés) avec leurs 4x4 polluants et leurs chiens ni plus ni moins considérés que comme des accessoires à leurs armes.
Une catégorie qui ne respecte rien ni personne, il n'y-a pas d'amour ici ni pour la nature, ni pour les animaux domestiques et ni pour ses semblables. La domestication par contre...
Il y a l'humain disant aimer la nature, mais si elle arrive dans son jardin, sous forme de sangliers par exemple grâce à l'humain décrit ci-dessus, il optera pour l'extermination des animaux, non pour que l'on sanctionne fortement une bonne fois pour toute le responsable et non pour que l'on privilégie les méthodes douces aux méthodes barbares. Que l'espèce humaine régresse il s'en contrefout, que la nature en pâtisse il ne le perçoit pas ou ne veut pas le savoir, au détriment de sa propre espèce donc.
Une catégorie très vaste qui se caractérise par son indifférence, qui compte beaucoup sur les autres pour faire le nécessaire, qui prétend aimer la nature, mais bon si jamais il y a un problème : exterminons ! Et l'année prochaine rebelote... Hors si l'on aime, on protège non ? Si l'on aime la nature on a en soi le respect du vivant. Quant à aimer les animaux domestiques, la domestication… catégorie très vaste donc, mais qui ne peut prétendre aimer la nature.
Enfin il y a l'humain affecté par tout cela et qui tente désespérément de réparer un peu les dégâts causés par le type d'humain décrit en premier, minoritaire mais causant tellement de dégâts !
Lui c'est avant tout dans l'intérêt de l'animal qu'il en a un ou plus. Il a été le chercher au refuge, l'a sauvé de l'euthanasie, du laboratoire, de la boucherie, de la maltraitance ou l'a sorti de la misère de la rue.
Il l'aime tel qu'il est, avec ses traumatismes parfois et l'animal sait lui rendre au centuple cette affection je peux vous dire, mais ce n'est pas pour la reconnaissance que témoigne l'animal abandonné (spécificité humaine que d'abandonner) qu'il a pris cet animal. Ni pour de quelconques intérêts personnels à part peut-être de soulager un peu sa souffrance face à la cruauté et la bêtise humaine. Maintenant si l'affection, l'attachement que l'on peut avoir pour un animal vous dépasse c'est autre chose, il en est en tout cas bien plus digne que beaucoup d'humains, lui n'abandonne pas entre autre. Vivre auprès d'êtres différents ne peut que vous enrichir.
Cet humain peut souvent dire qu'il aime aussi la nature et cela peut se vérifier dans ses actes de tous les jours, car son raisonnement n'est pas centré sur lui-même mais sur tout le vivant qui l'environne et auquel il est sensible, mais Einstein en a déjà parlé bien mieux que moi !
"Un être humain fait partie d'un tout que nous appelons : "l'Univers" ; il demeure limité dans le temps et l'espace. Il fait l'expérience de son être, de ses pensées et de ses sensations comme étant séparés du reste, une sorte d'illusion d'optique de sa conscience. Cette illusion est pour nous une prison, nous restreignant à nos désirs personnels et à une affection réservée à nos proches. Notre tâche est de nous libérer de cette prison en élargissant le cercle de notre compassion afin qu'il embrasse tous les êtres vivants et la nature entière dans sa splendeur." Albert Einstein
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Je reformule ma question: "comment peut-on aimer la nature et la domestication?".
Le paragraphe présentait d'autres questions qui découlent de cette première interrogation, mais la question titre attend une réponse.
Y en a-t-il entre vous qui aime la nature et qui ont domestiqué ou ont un animal domestique? Pouvez-vous dire que vous aimez la nature? N'y a-t-il pas une contradiction?
La domestication n'est pas propre à l'homme, elle est présente dans la nature chez les insectes, les bactéries, les micro-organismes, les végétaux, etc. Tels : les fourmis champignonnistes, les fourmis et les pucerons, le cornigera (acacia) et les fourmis (je suis fan inconditionnelle de B. WERBER), l'orchidée et son champignon, les termites et leur jardin de microbes.
Le terme domestication est bien approprié pour ces exemples, également symbiose et interdépendance.
L'homme n'est ni plus ni moins qu'un animal plus particulièrement curieux (et redoutable). Il n'est pas dissociable de la nature. Tout est lié sur cette planète.
Parlez-vous d'animaux domestiques ou d'animaux de compagnies ?
Initialement le chien s'est certainement rapproché de l'homme pour manger ses restes et l'homme a utilisé le chien pour la chasse. Chaque être vivant cherche à survivre et pour ce faire s'allie avec d'autres êtres parfois, c'est la nature !
Etes vous sûre de ne pas vous tromper dans les termes ?
Vous ne reformulez pas, vous répétez la même question dans les mêmes termes.
Le mieux serait de donner un exemple précis.
regarder une rose ou un arbuste ,il y a des pucerons et que font les fourmis,elles vont les trairent .et dans la nature vous avez beaucoup d'animaux qui se servent des autre .voila la domestication
Salut
Dommage qeu je n'ai pas ta question sous les yeux pour y repondre bien. J'ai chevaux, 3 chiens et chats et je peux dire aimer la nature. Mes chevaux sont certes en parc mais je n'ai et eux non pas, la chance que je possède plus de surface pour leur laisser le libre parcours. Mais je le regrette fortement.
Mes chiens vivent avec nous, partout (sauf au travail, bien que le plus jeune demande a venir en voiture pour m'y attendre. Il vient c'est son choix). Je peux dire qu'ils sont épanouis parce que nous sommes leur chef de meute et ils font partie d'une meute de 5 avec nous. Si on part en rando, ils viennent avec nous, dorment dans le fourgon avec nous (sinon ils dorment à la maison la plupart du temps. si ce n'est pas le cas, c'est soit leur choix, soit exceptionnellement que ils se roulent dans un truc infecte.
Voila ma vie avec eux. Trouve tu que je les dénature ? Christel