Chien ne supportant pas d etre seul
Résolu
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Marin2281
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18 févr. 2013 à 13:39
18 févr. 2013 à 13:39
Un chien apprend à rester seul. Mais comme sans doute vous faites comme la majorité des gens le contraire de ce qu'il faudrait faire en pensant bien faire, je vous communique ci-dessous quelques recommandations qui ont fait leurs preuves.
A vous d'en juger la pertinence et l'efficacité.
La solitude est un stress : comment apprendre au chien à gérer son stress et sa frustration ?
Commencer dès l'arrivée du chiot, en évitant d'être toujours « sur » lui.
Alterner des moments de demande d'attention et des moments où l'on ignore le chiot.
Avec le programme « rien n'est gratuit », le chien n'obtient une caresse que si il a effectué une bonne réponse à un signal envoyé par le maître. Donc ignorer les demandes gratuites de câlin.
Les moments de jeux et d'interactions ludiques intenses doivent être organisées et prévisibles et non en réponse spontanée aux sollicitations du chiot.
Promener et fatiguer le chien au moins deux heures par jour pour espérer pouvoir le laisser seul plusieurs heures.
Faire travailler le chien, le faire promener, le faire jouer par des personnes différentes étrangères au foyer afin que le chiot ne se focalise pas uniquement sur sa famille.
Confier le chien à diverses personnes dès que possible pour le faire garder.
Stimuler les rencontres avec les congénères et toutes les interactions sociales pendant que le maître s'éloigne du chien.
Au début, éviter de partir toute la journée, dès le lendemain de l'adoption. Le stress serait tellement important qu'il pourrait déclencher un traumatisme.
Réaliser des absences courtes puis progressivement plus longues pour créer une habituation.
Les départs peuvent faire l'objet d'une ignorance du chien afin de la banaliser. Sortir et rentrer sans faire attention à lui, plusieurs fois par jour. Sortir sans préparatifs (manteau, chaussures, sacs) et faire des préparatifs sans sortir, afin de ne pas stimuler la vigilance et l'inquiétude du chien.
Les départs peuvent aussi faire l'objet d'un rituel apaisant pour le chien à condition qu'il le perçoive comme réellement positif, comme un os à ronger longuement, un Kong rempli d'aliment, un jouet particulièrement apprécié ou un doudou à materner en l'absence des maîtres. Ce type d'habitude permet au chien de rendre l'absence prévisible et de diminuer le stress de l'inconnu. Le chien, en recevant l'objet apprécié, sait que le maître part puis revient.
Si l'absence est longue (plus de 8 heures par jour), ne pas hésiter à confier le chien à une « crèche pour chiens » ou une « dog sitter ».
Bon courage
A vous d'en juger la pertinence et l'efficacité.
La solitude est un stress : comment apprendre au chien à gérer son stress et sa frustration ?
Commencer dès l'arrivée du chiot, en évitant d'être toujours « sur » lui.
Alterner des moments de demande d'attention et des moments où l'on ignore le chiot.
Avec le programme « rien n'est gratuit », le chien n'obtient une caresse que si il a effectué une bonne réponse à un signal envoyé par le maître. Donc ignorer les demandes gratuites de câlin.
Les moments de jeux et d'interactions ludiques intenses doivent être organisées et prévisibles et non en réponse spontanée aux sollicitations du chiot.
Promener et fatiguer le chien au moins deux heures par jour pour espérer pouvoir le laisser seul plusieurs heures.
Faire travailler le chien, le faire promener, le faire jouer par des personnes différentes étrangères au foyer afin que le chiot ne se focalise pas uniquement sur sa famille.
Confier le chien à diverses personnes dès que possible pour le faire garder.
Stimuler les rencontres avec les congénères et toutes les interactions sociales pendant que le maître s'éloigne du chien.
Au début, éviter de partir toute la journée, dès le lendemain de l'adoption. Le stress serait tellement important qu'il pourrait déclencher un traumatisme.
Réaliser des absences courtes puis progressivement plus longues pour créer une habituation.
Les départs peuvent faire l'objet d'une ignorance du chien afin de la banaliser. Sortir et rentrer sans faire attention à lui, plusieurs fois par jour. Sortir sans préparatifs (manteau, chaussures, sacs) et faire des préparatifs sans sortir, afin de ne pas stimuler la vigilance et l'inquiétude du chien.
Les départs peuvent aussi faire l'objet d'un rituel apaisant pour le chien à condition qu'il le perçoive comme réellement positif, comme un os à ronger longuement, un Kong rempli d'aliment, un jouet particulièrement apprécié ou un doudou à materner en l'absence des maîtres. Ce type d'habitude permet au chien de rendre l'absence prévisible et de diminuer le stress de l'inconnu. Le chien, en recevant l'objet apprécié, sait que le maître part puis revient.
Si l'absence est longue (plus de 8 heures par jour), ne pas hésiter à confier le chien à une « crèche pour chiens » ou une « dog sitter ».
Bon courage
21 févr. 2013 à 00:38