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13 réponses
Je crois que c'est justement l'hiver qu'il faut les nourrir..
Il faut arrêter dés que le printemps arrive,ils se débrouillent seuls avec les chenilles,les baies,pucerons ext...
Si vous les nourissez tout le temps.Ils ne vous débarasseront pas des insectes nuisibles du jardin.
Moi aussi j'ai d'abord été tentée de vous répondre que c'est l'hiver qu'il faut les nourrir ! mais quand j'ai vu votre photo, j'ai tout de suite compris votre désarroi.
Avez vous essayé de contacter la LPO pour savoir ce que ses membres préconisent dans ce genre de situation ? Il y a des antennes de cette association dans beaucoup de départements, voir sur internet pour trouver la plus près de chez vous. Cordialement
Excusez moi,je n'avais pas vu la fin de votre question.
J'ai moi aussi un épervier qui vient prélever quelques oiseaux à coté des mangeoires.J'habite pourtant à 4 Kms de Paris!
Je laisse faire,je crois que c'est la nature.Le chat du voisin en mange aussi quelques uns.J'ai également unpetit bassin et un héron cendré du bord de marne préléve quelques poissons.
Je n'ai pas le courage de faire quelque chose,de plus je crois que les oiseaux de proie sont des espèces protégées.
justement oui; . surtout en periode de grand froid et penser a l'eau On trouve des melanges speciaux et des boules de graisse car les mesanges ne ramassent pas les graines par terre..j'..en accroche au balcon....
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Tous les hivers je nourris les oiseaux et ils me le rendent bien au printemps par leur gasouillement autour de ma maison . Il est vrai que je leur donne à manger sur mon balcon et je n'ai pas de problèmes de rapaces , mais ce sont les lois de la nature et quoique vous fassiez la nature prendras ces droits .
il faudrait que la mangeoire ne laisse passer que les petits oiseaux et qu'elle soit assez pres de la maison .les rapaces viennent rarement pres des habitations.(mon mari a fabrique 1 mangeoire genre petite maison haut perchee sur 1 piquet hors de portee des chats )
Peut être l'attraper, et le transporter ailleurs.
Je suis sûr que tu trouveras une solution.
Tu peux aussi ne plus nourrir les petits oiseaux. L'épervier va se chercher un autre terrritoire. Et l'hiver prochain , tu recommencera.
bonsoir, je pense qu'il faut continuer de nourrir les oiseaux de votre jardin. je comprends que la présence de ce rapace peut être déroutante mais il est normal qu'il se nourrisse aussi.... j'ai de nombreux chats qui transitent dans mon jardin et nécessitent pas à chasser les oiseaux. je ne peux rien y faire et eux ne chassent pas pour se nourrir. ce rapace fait partie de la chaîne alimentaire et ne tue que pour se nourrir. rien ne vous empêche de voir s'il existe près de chez vous une association de protection des oiseaux qui pourrait vous renseigner.
Bonjour
Réponse à madame Lombard .
Ayant le même problème que monsieur Falkner, je vous remercie pour votre idée de "cloche pour oiseaux" je n'y avait pas pensé.
C'est en vous lisant que maintenant, je me rappelle que ma grand mère faisait comme la vôtre pour garder ses poussins contre les prédateurs.
Cordialement .
Bon c'est vrai c'est la loi de la nature, cet épervier doit se nourrir, mais je m'inquiète de savoir, vu son rythme de prédation actuel, s'il restera encore quelques oiseaux à la fin de l'hiver. Pour résumer, la maison ne lui fait pas peur, il se pose parfois à moins de deux mètres de la fenêtre de ma chambre, il attends parfois, quand je ne le chasse pas,que les oiseaux sortent de leur abri ou va les déloger lui-même si çà ne vas pas assez vite comme hier matin, je ne sais pas combien de temps il met pour digérer mais j'estime qu'il vient au moins trois fois par semaine et ne repart pas le ventre vide. La cloche en grillage pourrait être une idée mais comment faire comprendre aux moineaux de rester à l'intérieur, c'est plutôt le sauve qui peut et sa vitesse et sa dextérité lui permet d'en attraper en vol, je l'ai vu par deux fois. Pas de contact pour l'instant avec une LPO locale, je doute néanmoins de la fiabilité d'une réponse. En attendant je vais transférer la zone de nourrissage côté rue plus passante donc moins tranquille pour lui.
Merci à tous pour vos réponses non dénuées d'intérêt et bonne fêtes de fin d'année
Michel
Belle photo Louisette, rassurez-vous il n'est pas dans mon intention de stopper l'apport de nourriture, j'en ais environ une quarantaine de kilog en stock entre boules de mésanges, graines mélangées et tournesol noir, qu'en ferais-je d'autre ! Je me pose juste la question de savoir combien j'en sauve et combien il en tue, est-ce que le jeux en vaut la chandelle et si la centaine d'euros dépensés en moyenne chaque hiver ne servent pas uniquement à nourrir un épervier. Ce qui serait bien c'est qu'il aille de temps en temps accomplir ses méfaits un peu plus loin même si effectivement il s'attaque à la même population qui fréquente mon jardin.Pour l'instant, ayant déplacé mes agrainoirs côté rue, il semble moins présent. Pourvu que celà dure !
Michel
réponse pour Louisette :
on installe la cloche de grillage à l'endroit où l'on veut nourrir les oiseaux et on ne met les graines que SOUS la cloche, seuls les petits oiseaux passent par les mailles du grillage pour aller chercher leur pitence et suivant les espères : mangent sur place à l'abri du grillage (à eux de faire attention lorsqu'ils en sortent) ou pour les mésanges, par exemple, s'envolent avec leur graine dans le bec pour aller la déguster à l'abri dans les bosquets alentour. Mais là aussi le risque est grand de voir fondre l'épervier sur l'oiseau qui n'est pas assez rapide. Cet épervier, pas bête, profite de la concentration autour des mangeoires pour se servir facilement, plus rapide et plus sûr que la quête dans la nature !
Nous, nous avons la chance cet hiver d'avoir vu arriver un pic épeiche et un geai magnifique......en plus bien sûr de tous nos petits hôtes habituels.
Cordialement
Donc, moins les nourrir pour éviter les concentrations des petits oiseaux, je vais faire des économies !!??.....Mais, avouez qu'il est difficile de les voir arriver sur des mangeoires vides, repartir le bec vide quand il y a de la neige tout autour, dans ces cas là, y'a rien à faire...je craque.
Michel.